Jazaïr

Meurt idiot celui qui n’a connu l’Orient

Ses parfums épicés et son sourire ardent

Gorgé du soleil de milles dunes étoilées

Au son d’un dialecte imagé.

 

K : . , vous êtes une rencontre qui marque.

Dès le premier aperçu, je dois avouer que

Je vous ai reconnue

Vous m’avez maintes fois déstabilisé, ému

 

Lors des nuits dansantes je ne pouvais

Empêcher mes yeux de s’attacher à vous.

J’ai eu par moments la chance, je l’avoue,

De parler avec vous, et cela fut toujours parfait.

 

J’enrage devant votre tête de muse

Qui a tout pour me faire flancher

J’aurais aimé déjouer des auspices la ruse

Pour un peu mieux vous rattraper

 

Avant que vous vous envoliez vers d’autres courses

Et qu’il ne me reste que la grand ourse

Pour caresser votre peau.

Voilà bien des mots !

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