Meurt idiot celui qui n’a connu l’Orient
Ses parfums épicés et son sourire ardent
Gorgé du soleil de milles dunes étoilées
Au son d’un dialecte imagé.
K : . , vous êtes une rencontre qui marque.
Dès le premier aperçu, je dois avouer que
Je vous ai reconnue
Vous m’avez maintes fois déstabilisé, ému
Lors des nuits dansantes je ne pouvais
Empêcher mes yeux de s’attacher à vous.
J’ai eu par moments la chance, je l’avoue,
De parler avec vous, et cela fut toujours parfait.
J’enrage devant votre tête de muse
Qui a tout pour me faire flancher
J’aurais aimé déjouer des auspices la ruse
Pour un peu mieux vous rattraper
Avant que vous vous envoliez vers d’autres courses
Et qu’il ne me reste que la grand ourse
Pour caresser votre peau.
Voilà bien des mots !