Alice ou Peter, c’est du pareil au même. C’est le refus de la vie réelle, le refuge dans l’onirisme. Et puis, il faudrait être fou pour faire encore des vers après vingt ans. Il faudrait être partiellement dérangé pour fuir le réel passé cet âge. C’est la symphonique des névroses assemblées entre elles et qui résonnent sempiternellement.